Il joua bien
Quand il me dit,
Cartes sur table,
N’être qu’à moi…
Il me surprit
Par son audace :
Comme de rien,
Mon cœur s’ouvrit
Et décida
Qu’il serait sien !
Poèmes d’Orléans
Le 25 de chaque mois, nous publierons la réécriture d’un poème de Charles d’Orléans. Ce texte remplacera le précédent pour donner un aperçu nouveau de l’ouvrage de Tristan.
Il joua bien
Quand il me dit,
Cartes sur table,
N’être qu’à moi…
Il me surprit
Par son audace :
Comme de rien,
Mon cœur s’ouvrit
Et décida
Qu’il serait sien !
Je rêvai cette nuit-là que le printemps, dont la fringante rumeur me parvenait étouffée, triomphait à ma fenêtre. Une lumière crue inondait ma chambre…
Lire la préface aux Poèmes d’Orléans