Dans mon cœur carotte, jardin des envies,
Vivaient les lutins de mes fantaisies.
Sur mon cœur crocus, éden des dandys
Dansaient les encens de mes poésies.
Et dans ce cœur-là, tapissé de moire,
Pareil aux palais des grands rois bulgares,
Dans ce lit nuptial, sans aucun égard,
S’aimaient la tristesse et le désespoir.
C. D.
Merci !
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Très beau poème, dans l’air du temps…
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