Dans ces chimères qui me perdent
Je sens mon pouls se résorber
Dans ces chimères en qui se perdent
Les dragons mous de me violer
J’entends l’écrou se renfrogner
Notre Dame offrez ma pauvre âme
Aux vents du jour qui le parjurent
Ô Notre Dame et d’autres larmes
Roulent au secours du grand brûlé
Qui foule aux pieds du fou l’élan
Qui m’écorchent comme une sœur
Tumescents comme autant de borgnes
Qui m’écorchent comme on s’endort
Et meurent au son d’un morne sang
Les châteaux forts de mes vingt ans
Dans ces chimères qui me perdent
Je sens mon pouls se résorber
Dans ces chimères en qui se perdent
Les dragons mous de me violer
J’attends le jour de l’être encore
T. C.