Ne viens plus me redire combien tu chéris
La pâleur de mes joues mon regard qui s’irise
Le charme au petit jour des oiseaux de passage
Qui survolent nos fronts et noient le paysage
Ne reviens plus fleurir mon corps nu de baisers
Sous le grain de ma peau l’infini déserté
Ne viens plus l’emperler de rosée printanière
Le vieux monde s’innerve au refrain de la sève
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À la source d’eau fraîche où le ciel bleu se pâme
Je mire me penchant le reflet de mon âme
Un jeune homme ondoyant de clarté comme en rêve
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Ne viens plus me redire les mots impossibles
Ce miracle d’amour dont le sceau nous unit
Je ne veux plus y croire et mourir au réveil
T. C.
Merci à vous,
Vos chaleureux commentaires me sont un précieux encouragement.
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C’est magnifique ! merci pour cette douceur emperlée de douleur. Belle journée à vous !
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